| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://tala3mara.vip-blog.com


tala-amara
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

Catégorie : ayen dwaya

tala-amara
VIP-Blog de tala3mara
  • 8 articles publiés dans cette catégorie
  • 14 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 30/10/2009 20:40
    Modifié : 17/03/2010 21:17

    Garçon (35 ans)
    Origine : tala amara tizi rached tizi ouzou
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Juillet  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    30010203040506
    07080910111213
    14151617181920
    21222324252627
    282930010203
    [ ayen dwaya ] [ radio ] [ medias ] [ photos ] [ culture et tradition ]

    le drapeau berbere

    09/03/2010 04:20

    le drapeau berbere


    Le drapeau berbère est l'emblème des Berbères. C'est dans les années 1970 que l'Académie berbère (Agraw Imazighen) présente le premier drapeau berbère. En 1998, le Congrès mondial amazigh officialise le drapeau à Tenerife, dans les Îles Canaries — peuplées autrefois par les Guanches, ancien peuple berbère. Le drapeau est composé de trois bandes horizontales de même largeur (bleu, vert, jaune) et de la lettre Z (aza en tifinagh) en rouge. Chaque couleur renvoie à un élément du Tamazgha, territoire où vivent les Berbères (correspondant au nord de l'Afrique) : • le bleu représente la mer Méditerranée et l'océan Atlantique ; • le vert représente la nature et les montagnes verdoyantes ; • le jaune représente le sable du désert du Sahara. La lettre Z de l'alphabet tifinagh (le aza ou yaz) représente l'« homme libre » — amazigh en berbère, imazighen au pluriel —, nom que se donnent les Berbères. Il est ici en rouge, couleur de la vie, mais aussi couleur de la résistance. Le drapeau berbère symbolise donc le peuple amazigh vivant en harmonie avec sa terre, le Tamazgha




    tala amara

    13/01/2010 23:10

    tala amara


     AYEN UNSELARA ΓEF TALA 3MARA ? XAS AKEN ḌEGS  AYEN IGERZEN ADAVU YUGGI ADICVU WID YARAN AZAL ITMURANSEN




    tazwara

    05/12/2009 06:03

    tazwara


    Entouré de Tala Mahrez, Taaja, Tala Toulmoutt, Bousmahel et autres villages, Tala Amara, cet espace géographique où poussent les plus belles narcisses que l’on trouve nulle part ailleurs, par leur parfum, leur délicatesse et leur jaune prononcé, grandit d’année en année, jusqu’à prendre l’allure d’une ville moyenne. Malgré cela, ce village reste rattaché à la commune de Tizi-Rached





    laimeche ali

    05/12/2009 05:35

    laimeche ali


    Laimeche Ali, une bougie trop vite consumée par le vent du berbéro-nationalisme C’est le 06/08/1946 que Ali Laimeche, un berbéro-nationaliste, est décédé à l’âge de 21 ans. Malgré sa jeunesse, son nom a traversé le temps grâce à la mémoire collective kabyle alors que, durant toute la période du parti unique (1962-1969), il était occulté. Cela est d’autant plus impressionnant que cette volonté de l’anéantir était le fait, en Kabylie, des relais du régime islamo-baathiste qui faisait l’impasse sur tout ce qui était berbère en général et kabyle en particulier. Malgré une vie consumée telle une bougie allumée au vent violent du nationalisme algérien de l’époque, une vie intensément consacrée au combat contre le colonialisme français, le fait qu’il militait dans sa langue maternelle, langue dans laquelle il créait et traduisait des chants pourtant nationalistes, l’avait condamné à l’ingratitude et au mépris de l’Algérie indépendante. A ce jour, il ne fait partie que de la mémoire collective de la région. L’Algérie est un miroir brisé dont chaque morceau reflète une identité régionale isolée. Auteur présumé de « Kker a mmi-s u mazigh », « Ghuri yiwen umeddakel » ou « newwi-d tafat s wudem »… Ali Laimeche était aussi un organisateur né. Ayant vu le jour en 1925 à Icherâiwen, village natal du célèbre poète Si Mohand u Mhand, dans la commune de Tizi-Rached, il avait fréquenté l’école primaire locale durant quatre ans puis le collège à Tizi-Ouzou où il était immédiatement immergé dans le bouillon de culture nationaliste qu’était toute cette ville et commença le combat contre le colonialisme français. Il fut d’ailleurs arrêté quelques mois plus tard en possession d’un tract du PPA (Parti du Peuple Algérien) probablement rédigé par Amar Imache. Voulant devenir enseignant, son admission au lycée l’avait encouragé à continuer ses études secondaires. C’est ainsi qu’il fréquenta le Lycée de Ben Aknoun, actuel lycée El-Mokrani, où il élargit son champ de vision et se distingua par ses qualités d’organisateur et de meneur d’hommes au profit de la cause nationale à travers notamment son implication dans le scoutisme. En novembre 1942, les Américains débarquèrent à Alger et le lycée qu’il fréquentait était réquisitionné pour les troupes alliées de la seconde guerre mondiale. Laimeche était transféré à l’Ecole Normale de Jeunes filles de Miliana. C’était là qu’il s’était entièrement engagé dans le scoutisme : sensibilisation, recrutement, organisation, animation et … création et traduction de chants révolutionnaires en kabyle dont ceux évoqués plus haut. En 1944, il avait repris ses études à Ben Aknoun et fut admis, en fin d’année scolaire, à la première partie du baccalauréat avec mention « bien ». Il ne passera jamais la deuxième partie dudit diplôme pour cause des massacres du 8 mai 1945 à la suite desquels il décida de prendre le maquis en compagnie d’une poignée de ses camarades de lycée. Il venait d’entamer la période la plus intense de sa vie qui allait lui être fatale. Leader charismatique hors normes malgré son jeune âge, courageux et lucide,, il était chargé par le Parti du recrutement et de la formation politique et para militaire de centaines de jeunes en Kabylie. Il fut terrassée par une fulgurante tuberculose et rendit l’âme près d’Ait Zellal, localité entre Souamaa et Djemaa Saharidj. C’était le premier enterrement nationaliste qui avait déplacé selon une source écrite, une foule de près de deux cents mille personnes. C’est en 1981 que j’ai été invité par des amis de Tizi-Rached à commémorer la date de sa mort dans la localité. Un concert public était prévu vers 20 heures et le maire aurait donné son aval. Arrivé avec ma guitare sur l’épaule à l’heure prévue, quelle ne fut ma surprise de trouver la ville plongée dans l’obscurité. Le FLN avait tout simplement coupé l’électricité pour ne pas disposer de la sonorisation. Le public m’attendait. Mais devant l’interdiction qui m’était verbalement signifiée par ceux-là mêmes qui m’avaient invités, j’avais demandé à mon jeune public de me suivre en contre bas de la ville et c’était au clair de lune et entre les oliviers que j’eus, sans le savoir, l’insigne honneur et le privilège d’entamer ce qui est devenu une tradition de la commémoration d’un symbole du combat pour l’Algérie, l’amazighité et la Kabylie. Lorsqu’en 1991 de nombreux notables corrompus et alliés du régime étaient conviés à lui rendre un hommage officiel, une indicible colère m’envahît. J’avais l’impression qu’on était en train de nous déposséder du combat de ce géant, de le récupérer au profit du régime et des hommes qui des décennies durant veillaient scrupuleusement à ce que le silence se fasse sur sa tombe. Il est fort probable que l’année prochaine qui coïncidera avec le soixantième anniversaire du martyr de Laimeche Ali, nous voyions de nouveau les dignitaires et autres relais du pouvoir venir en masse pour tenter de récupérer la mémoire d’un homme qui, rien que par les chants qu’il a laissés, les combat depuis sa tombe.




    pour qu'on l'oubli pas

    05/12/2009 05:19

    pour qu'on l'oubli pas


                                                                         je refuse que meurt l'algerie
    Smaïl Yefsah revient cette semaine! Tala Amara commémore le 14e anniversaire de l’assassinat de Smaïl les 17 et 18 octobre, Les cérémonies, toutes de retenue, commencent par l’inauguration d’une exposition artistique le mercredi 17 octobre, elle sera suivie le lendemain 18 octobre par le dépôt d’une gerbe de fleurs sur la tombe de Smaïl. Smaïl était venu au monde un 28 octobre 1962 dans une famille qui compte plusieurs martyrs. D’ailleurs on lui donna le prénom de son oncle, tombé quatre ans plus tôt, le 18 avril 1958, les armes à la main. En 1964, la famille quitte le village pour s’installer à Tizi Ouzou. Le père vendit ses biens acquis à Douai en France et monte un commerce à Tizi Ouzou. Troisième enfant d’une famille qui en compte huit, Smaïl entame sa scolarité à l’école Ali-Hamoutène de Tizi Ouzou, ensuite et après des études primaires relativement brillantes, il accède au collège Mouloud-Feraoun toujours à Tizi Ouzou. En 1974, le père abandonne son commerce de Tizi Ouzou pour rejoindre le village de Tala Amara. Smaïl entre au lycée Illouli de Larbaâ Nath Irathen. Exclu du lycée Illouli pour avoir porté la revendication identitaire, Smaïl part à Alger et s’inscrit au lycée de Notre-Dame d’Afrique, il y poursuit ses études secondaires, mais Smaïl rate son baccalauréat, il refait sa terminale au lycée Fougeroux et ensuite ses études supérieures. Il obtient la licence mais se trouve bloqué pour son magistère. En 1987, il fait un bref passage au journal économique en arabe El Hadeth. Puis, c’est l’Entv. Très vite, il gravit les échelons et de rédacteur présentateur il devint sous-directeur de l’information. Lors de son passage à la télévision, il était chargé de beaucoup de missions et couvre de nombreux événements tant en Algérie qu’à l’étranger. Des mains criminelles ont éteint ce beau sourire en cette matinée du 18 octobre 1993 à Bab Ezzouar près d’Alger. Smaïl repose aujourd’hui à côté de son oncle Smaïl à Tala Amara, le village natal.




    1 2 | Page suivante | Fin
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact tala3mara ]

    © VIP Blog - Signaler un abus